Deux victimes terrorisées.
La porte branle battue par des rafales de coups sec et insistants qui crient " ouvrez ".
Deux victimes terrorisées prisent dans la métaphore de leur vie.
Deux enfants au destin sans issue.
Le rat blanc resté accroché dans le cou de Théo prend appuie sur son épaule, et saute dans la cuvette des toilettes.
Ils n’ont pas le choix et n’hésitent pas, remarquant à peine que la cuvette est disproportionnée. Ils sautent et basculent dans un abîme d’obscurité.
Très vite leurs mains affolées mordent les ténèbres tentant de se raccrocher à quelque chose.
Puis le sol les reçoit.
Pas d’os qui craquent, ni de chaire meurtrie, juste deux enfants qui reprennent leur souffle.
Trop content de s’en tirer à si bon compte, qu’ils ne pensent même à se demander en quel lieu ils sont arrivés...
[La rédaction du reste de la trame principale de l'histoire devrait être achevée vers Novembre 2003, patience.]