Jusquiam.
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Je voudrais ... étendre ... mes pétales,
sur ton corps de fièvre.
Interrompre le temps de la vie,
les larmes acides,
qui attaquent, ta chaire sucrée.
Mais j'ai peur, que tes mains de manque,
déchirent, mes pétales.
Que tu veules, ton agonie.
Ou, que tu veules, t'enivrer, de ma sêve,
pour me laisser, sécher,
abandon, comme, autrefois,
émancipation, comme, à chaque fois,
quand j'ai donné, la vie.
Pourtant, je ne peux résister...
Pourtant, tu ne pourras, résister...
Tu es enfant, et je suis Jusquiam...
Mais nous ne sommes plus...
Dans la réalité...
Ta mère de rêve, se fane en femme...
Dans la réalité...
La lune est seule mère, et nous aime
Mais nous voulions, nous aimer,
comme, Jusquiam et son enfant, rêvent de s'aimer.
Les rêves ne se lisent pas, ils se vivent de l'intérieur.
Pour bien vivre :
Ne suivez pas un sens
Apprenez à remplacer les mots
Ecoutez les non dits
Faite le lien.
Code : nombres à compter dans sa tête pour obtenir la respiration du texte.
[ . =1,2,3,4] [ ... = 1,2,3] [ , = 1,2]