Les morts dont les yeux sont encore ouverts,
même si ils ne comprennent plus, ils sont nos caméras.
 
Ich unglucksel'ger atlas eine welt,
die ganze welt der schmerzen muss, ich tragen,
ich trage unertragliches, und brechen
will mir das herz im leibe.
 
Parfois, ce qui t'observe derrière les yeux de quelqu'un est mort dans l'enfance.
(c'est mort et c'est là, et ça regarde toujours. Ce n'est pas simplement le corps, sans rien dedans, qui te regarde; non, il y a encore quelquechose à l'intérieur qui est mort depuis longtemps, mais continue à regarder au dehors, et regarde encore, sans pouvoir s'arreter.)
 
Wie kalt ist es in diesem unterirdischen Gewolbe !
 
A la limite, il y a encore 1 ou 2 cellules qui clignotent dans le cerveau. Mais ça s'arrête là.
Le reste est complétement court-circuité.
 
Das ist naturlich, es ist ya tief.  
 
Gott ! Welch dunkel hier ! O grauenvolle stille !
Od ist es um mich her. Nichts lebet auszer mir...
 
Ich seh' wie ein Engel im rosigen Duft/sich trostend zur seite mir stellet.
 
Wie kalt ist es im diesem unterirdischen Gewolbe !
 
Dès que l'écriture apparaitra inversée, vous saurez ce qui est illusion et ce qui ne l'est pas.
La confusion prend fin et la mort, l'ultime ennemi, la substance mort, est engloutie non par le corps mais par la victoire. Je vous révèle le secret : nous ne dormirons pas tous dans la mort.
 
Ainsi s'accomplira ce qui est annoncé dans l'Ecriture, et la mort sera engloutie par la victoire.
 

Maintenant nous voyons en un miroir obscurément; mais alors nous verrons face à face. Maintenant je connais partiellement; mais alors je connaitrai comme je suis connu.

 
Weh ! Steck' ich in dem kerber noch ?
Verfluchtes dumpfes Mauerloch,
Wo selbst das liebe Himmelslicht
trub durch gemalte scheiben bricht !
Beschrankt mit diesem bucherhauf,
den Wurme nagen, Staub bedeckt,
den bis ans hohe.
 
Zwei seelen wohnen, ach ! in meiner brust,
die eine will sich von der andern trennen :
Die eine halt, in derber Liebeslust,
sich an die welt mit klammernten organen :
 
Dem Wurme gleich'ich, der den Staub'duch wuht,
den, wie er sich im Staube nahrend lebt,
des wandrers tritt vernicht et und begrabt.
 
Was grinsest du mir, hohler schadel, her?
als dass dein Hirn, wie meines, einst verwirret
den leichten Tag gesucht und in der Dammrung schwer,
mit lust nach wahreit jammerlich geirret.
 
Ihr instrumente freilich spottet mein,
mit rad and kammen, walz' und bugel :
ich stand am tor, ihr solltet schlussel sein :

zwar euer bart ist krauss, doch hebt ihr nicht die Riegel.

 

Qu'es ce que la Pierre Psycho So Fall ?

La Pierre Psycho So Fall est l'aboutissement de la quête du réel, comme ce message est principalement en allemand littéraire que ceux qui veulent poursuivre le Jeu se gardent de le traduire...

Philip K. Dick a-t-il caché un message dans "Substance Mort" ?

 

Mors Ontologica
 
Les morts dont les yeux sont encore ouverts,
même si ils ne comprennent plus, ils sont nos caméras.
 
Ich unglucksel'ger atlas eine welt,
die ganze welt der schmerzen muss, ich tragen,
ich trage unertragliches, und brechen
will mir das herz im leibe.
 
Parfois, ce qui t'observe derrière les yeux de quelqu'un est mort dans l'enfance.
(c'est mort et c'est là, et ça regarde toujours. Ce n'est pas simplement le corps, sans rien dedans, qui te regarde; non, il y a encore quelquechose à l'intérieur qui est mort depuis longtemps, mais continue à regarder au dehors, et regarde encore, sans pouvoir s'arreter.)
 
Wie kalt ist es in diesem unterirdischen Gewolbe !
 
A la limite, il y a encore 1 ou 2 cellules qui clignotent dans le cerveau. Mais ça s'arrête là.
Le reste est complétement court-circuité.
 
Das ist naturlich, es ist ya tief.  
 
Gott ! Welch dunkel hier ! O grauenvolle stille !
Od ist es um mich her. Nichts lebet auszer mir...
 
Ich seh' wie ein Engel im rosigen Duft/sich trostend zur seite mir stellet.
 
Wie kalt ist es im diesem unterirdischen Gewolbe !
 
Dès que l'écriture apparaitra inversée, vous saurez ce qui est illusion et ce qui ne l'est pas.
La confusion prend fin et la mort, l'ultime ennemi, la substance mort, est engloutie non par le corps mais par la victoire. Je vous révèle le secret : nous ne dormirons pas tous dans la mort.
 
Ainsi s'accomplira ce qui est annoncé dans l'Ecriture, et la mort sera engloutie par la victoire.
 

Maintenant nous voyons en un miroir obscurément; mais alors nous verrons face à face. Maintenant je connais partiellement; mais alors je connaitrai comme je suis connu.

 
Weh ! Steck' ich in dem kerber noch ?
Verfluchtes dumpfes Mauerloch,
Wo selbst das liebe Himmelslicht
trub durch gemalte scheiben bricht !
Beschrankt mit diesem bucherhauf,
den Wurme nagen, Staub bedeckt,
den bis ans hohe.
 
Zwei seelen wohnen, ach ! in meiner brust,
die eine will sich von der andern trennen :
Die eine halt, in derber Liebeslust,
sich an die welt mit klammernten organen :
 
Dem Wurme gleich'ich, der den Staub'duch wuht,
den, wie er sich im Staube nahrend lebt,
des wandrers tritt vernicht et und begrabt.
 
Was grinsest du mir, hohler schadel, her?
als dass dein Hirn, wie meines, einst verwirret
den leichten Tag gesucht und in der Dammrung schwer,
mit lust nach wahreit jammerlich geirret.
 
Ihr instrumente freilich spottet mein,
mit rad and kammen, walz' und bugel :
ich stand am tor, ihr solltet schlussel sein :

zwar euer bart ist krauss, doch hebt ihr nicht die Riegel.

 

Qu'es ce que la Pierre Psycho So Fall ?

La Pierre Psycho So Fall est l'aboutissement de la quête du réel, comme ce message est principalement en allemand littéraire que ceux qui veulent poursuivre le Jeu se gardent de le traduire...